#Chambre 1408#

20/50 

Suspense N°2/7

Allociné dit:

Réalisé par Mikaël Hafstrom
Avec John Cusack, Samuel L. Jackson, Mary McCormack

Titre original : 1408
Des images ou des idées peuvent choquer
Long-métrageLong-métrage américain . Genre : Epouvante-horreur
Durée : 01h44min Année de production : 2007
Distributeur : TFM Distribution

Synopsis : Bien qu'il soit un auteur réputé de romans d'épouvante, Mike Enslin n'a jamais cru aux fantômes et aux esprits. Pour lui, la vie après la mort n'est que pure invention, et il a passé suffisamment de temps dans des maisons hantées et des cimetières pour le vérifier...
En travaillant sur son dernier ouvrage, il découvre l'existence d'une chambre, la 1408 du Dolphin Hotel, où se sont produites de nombreuses morts inexpliquées et souvent violentes. Malgré les mises en garde du directeur de l'hôtel, Enslin décide d'y passer une nuit.
Face à ce qu'il va vivre, son scepticisme va voler en éclats. Pour lui, la question n'est plus de savoir si le paranormal existe, mais d'espérer survivre à la nuit de tous les cauchemars...

Jolie Chaussette dit:

Mon synopsis: un écrivain (John Cusack) qui ne croit pas au surnaturel se spécialise pourtant dans le guide Michelin fantomatique. Il passe la nuit dans des hôtels réputés "hantés" et les note en fonction de son trouillomètre. Il se décide donc a passé la nuit dans la chambre 1408 du Dolphin Hotel, à NY, sauf que le gérant (Samuel Lee Jackson) ne l'entend pas de cette oreille, il en a marre de ramasser des cadavres, lui!

Mon avis: J'ai préféré une fois encore ne pas écouté Allociné et classé ce film dans Thriller plutôt d'horreur. Car il s'agit bien d'un film à suspense avant tout. Je n'ai pas lu l'histoire de S. King (dont ce film est une adaptation), je ne sais donc pas si c'est fidèle ou pas. J'ai également entendu parler de fin(s) alternative(s). Je pense avoir vu la fin classique.

J'ai quand même pas mal frissonné, on est bien vite dans l'ambiance. C'est un huis clos très bien géré car tout se passe dans cette chambre à tel point que l'on ne sait plus où est la limite avec la réalité: On se demande même si quand on sort de cette chambre, on en sort vraiment. Pour une fois, un film qui m'a fait réfléchir (pas dans le sens philosophique mais dans le sens où je me demandais ce qui allait se passer) et ça fait du bien. En plus de ça un John Cusack au sommet de sa forme (je l'avais déja adoré dans Identity): on sent la folie monter petit à petit. Un petit plus: le dictaphone, j'ai trouvé que c'était une bonne idée, ça nous permet d'avoir les impressions du héros au fur et à mesure.

J'ai beaucoup aimé!